¤¤¤ AGORAPHOBIE - ATTAQUES PANIQUES ¤¤¤
Chapitre1 - Biologie
Un des aspects qui nous appartient est que nous sommes des êtres biologiques- nous avons un corps.
La réponse physique à l’anxiété que nous expérimentons durant les attaques de panique sont basés sur la biologie de ses corps.
Beaucoup de ses réponses sont basées sur la libération d’adrénaline. Libérer de l’adrénaline est la manière qu’à l’esprit de dire à notre corps qu’il est nécessaire soit de résister ou combattre.
C’est ce qu’on peut appeler la réponse « combattre ou fuire »
En d’autres termes, lorsque nous sommes effrayés par quelque chose, notre corps se prépare soit à s’enfuire soit à s’attaquer physiquement à ce qui nous effraie.
Comment ça se passe ? Premièrement, notre corps passe à la vitesse supèrieure. L’adrenaline a pour effet de demander au coeur de pomper plus vite de telle sorte qu’il y ait suffisamment d’oxygène pour fournir à nos muscles la capacité de se déplacer rapidement et à notre cerveau la capacité de penser rapidement.
Mais cet oxygène a besoin d’aller aux bons endroits. L’adrénaline alors dirige le sang chargé de cet oxygène où il est nécessaire et le “retire” d’où il ne l’est pas.
Il l’ est demandé dans les muscles des bras et des jambes et dans le cerveau. Il ne l’est pas dans la peau et les organes digestifs.
On désigne l’adrénaline comme responsable de l’élargissement des vaisseaux des muscles squelettiques afin qu’il y ait plus de circulation de sang dans ces parties du corps.
Pendant ce temps là, les vaisseaux sanguins de la peau et des organes digestifs se contractent dans le but de chasser le sang d’où il n’est pas nécessaire.
D’où le résultat “devenir pale et peur” car le sang s’est déplacé de la peau. Cela provoque également des sensations dans les organes digestifs tels que des crampes.
Naturellement, l’adrénaline a pour effet d’accélerer notre rythme cardiaque d’où un ressenti de pounding.
Cela cause aussi une expansion des tubes respiratoires du poumon pour avoir plus d’oxygène.
Ceci melé à une respiration plus rapide est l’hyperventilation que l’on rencontre dans les paniques attaques.
L’hyperventilation a ses propres effets. La plupart d’entre eux résulte de la conséquence de diminuer le montant de dioxyde de carbone dans notre corps. Quand nous respirons non seulement nous respirons de l’oxygène mais nous expirons du dioxyde de carbone .
Quand nous respirons rapidement, nous perdons la quantité nécessaire de dioxyde de carbone pour nous sentir normal. Cette perte a pour effet de se sentir dans les vappes, désorienté, et de developer tremblements, et crampes dans les mains et pieds (et beaucoup de personnes pensent que nous manquons d’air).
Malgré tout respirer dans un sac plastique peut aider.
Nous n’avons pas besoin de beaucoup de circulation de sang dans nos glandes salivaires donc celles-ci se ferment provoquant “une bouche sèche”.
Les pupilles se dilatent donc on peut avoir le plus grand champ visuel possible. Cela nous permet peut-être de nous protéger plus de ce qui peut arriver de n’importe quelle direction.
Tous ces changements sont le résultat de l’adrénaline.
Il y a des médicaments qui existent pour bloquer les effets de l’adrénaline .
Ils sont appelés les beta bloqueurs, les deux plus communs sont le Propranolol (Inderal) and Atenolol (Tenormin).
En résultat, ils rendent les gens plus confortables, néanmoins n’enlèvent pas les peurs émotionnelles ou anxiété mais réduisent considérablement les effets physiques (hyperventilation, crampes, sentiment cardiaque…).
D’un autre coté, les composants chimiques qui soit causent la libération d’adrénaline ou ont les mêmes effets que l’adrénaline rendre les gens qui ont des désordres au niveau « Panique » très inconfortable.
Ceux-ci sont appelés "Sympathomimetics" qui veut dire simplement qu’ils miment l’action du système nerveux sympathique. (partie du système nerveux qui réagit à l’adrénaline).
Ces composants incluent la caffeine, l’ephedrine, pseudoephedrine, stimulants, epinephrine, norepinephrine et beaucoup d’autres. Ils peuvent être trouvés dans de simples medicaments, dans des anésthésiques (dentiste) et dans des traitements alternatifs qui redonnent l’energie.