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 Chapitre 4. Que se passe t’il dans vos pensées..(Part I)

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FABISSI
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FABISSI


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MessageSujet: Chapitre 4. Que se passe t’il dans vos pensées..(Part I)   Chapitre 4. Que se passe t’il dans vos pensées..(Part I) EmptyDim 19 Fév - 0:36

Chapitre 4. Que se passe t’il dans vos pensées et que ressentez-vous ?

- Partie 1 -


NOTE IMPORTANTE DE L’AUTEUR
CE DOCUMENT A UNIQUEMENT UN CONTENU EDUCATIONNEL ET NE PEUT ETRE CONSIDERE COMME UNE ALTERNATIVE AUX TRAITEMENTS MEDICAUX EXISTANTS


Il n’y a rien qui puisse être dit des êtres humains qui soit vrai tout le temps. Néanmoins, certains traits de personnalité et manières de penser sont extrêmement communes chez les personnes sujets aux attaques de panique. Il se peut que vous trouviez certaines des vôtres dans la description suivante.

Parentification (Apprendre lorsque l’on est enfant à ne pas être soi-même)
Les personnes sujets aux attaques de panique ont été souvent privées de leur enfance. Oui ils étaient enfants, et on leur demandait de jouer un autre rôle d’adulte ou parent. Cela vient du fait d’être celui ou celle qui aide toujours- « la personne forte », la personne sur laquelle tout le monde compte en cas de crise.
Souvent le futur agoraphobique était l’aînée) des enfants de la famille. Ou, il y avait une autre raison qu’elle soit « parentifiée » : devoir prendre soin de parents malades ou alcooliques, d’enfants plus jeunes ou handicapés, de jouer le rôle de femme de maison quand la mère ou le père (dans un foyer où il n’y a qu’un parent) partait au travail sont des exemples courants.

L’enfant “parentifié” apprend à mettre de côté ce qu’il souhaite faire en faveur de ce qui lui est demandé de faire. En d’autres mots, il développe une manière de vivre et de se comporter, orienté vers ce qu’”IL DOIT”. Il apprend à faire ce qu’il doit et non ce qu’il veut. Il fait de ses responsabilités sa première priorité. Beaucoup de personnes apprennent même à prendre un certain plaisir en cela. Après tout, cela est gratifiant de savoir que chacun recherche votre aide et assistance- en particulier dans une crise.
Malheureusement, le prix à payer à être la personne forte est assez fort. On n’autorise pas cette personne à être faible, irresponsable, à avoir besoin d’aide ou être surchargée. Certainement pas une personne joueuse et insouciante. Donc le prix à être la personne forte est de très bien apprendre à mettre de côté –être ce que vous êtes en faveur de « être ce que tout le monde dit que vous devriez être ». Cette personne développe aussi l’habitude d’ignorer ce que nous voulons, et ce que nous sentons que nous devrions faire.
En fin de compte nous avons ignoré cela si souvent que nous savons même difficilement ce que c’est.

Une autre façon pour les enfants pré-agoraphobiques d’apprendre à s’occuper d’autres personnes qu’eux-mêmes est de devoir répondre aux grandes attentes des parents. Par exemple, devoir être tout le temps en tête de classe, devoir exceller dans un sport… Très tôt, l’enfant apprend qu’il est “juste pas assez bon” à moins de prendre soin de ces parents d’une autre manière. (Bien sur, ce qui se produit ici, est que le ou les parents se sente(nt) mal dans leur peau et compense(nt) cela en ayant un enfant « modèle »).

Cette situation est un piège pour l’enfant.

Même si il est capable d’être en tête de classe, la performance académique peut tout simplement ne pas l’intéresser. Il n’a pas le choix, car il sait qu’il échouera aux attentes de ces parents. Donc il est coincé. Et si l’enfant n’a pas l’équipement mental pour être sur la liste des premiers, il lui est pratiquement impossible de se sortir de ce piège. Résultat ? Il apprend que ce qu’ il est (n’être pas si bon à l’école ou être désintéressé des études) est inacceptable. Il est inacceptable pour ses parents, car il veut qu’ils soient contents de lui. Et pire il devient inacceptable à ses yeux. Et de là commence l’habitude de rejeter ce qu’il(elle) est en faveur de ce que les autres veulent de lui ou d’elle. Cette personne devient « un pro du paillasson»- permettant aux autres de leur marcher dessus parce qu’elle sait qu’elle n’est pas une bonne personne, et que le moins qu’elle puisse faire est d’essayer d’aider les autres qui eux apparemment le sont.
C’est aussi la raison pour laquelle, les agoraphobiques sont les meilleures personnes à avoir autour de soi dans une urgence. Ils sont préparés, calmes et prêts à répondre à tous les besoins qui se présentent. Comme ils l’ont faits lorsqu’ils étaient des enfants « parentifiés », ils sont prêts à prendre en charge toutes les éventualités. C’est pourquoi la plupart des agoraphobiques ont développé leur propre kit d’urgence sans avoir lu ces articles. Ils sont prêts. Pour tout.
Je pense que ce qui est arrivé lors de la 2ème Conférence annuelle sur la phobie à Washington D.C en est un parfait exemple. Des centaines de phobiques et conseillers y étaient présents. Celle-ci se déroulait dans un hôtel très spacieux et très haut. Au deuxième jour, après ma présentation, je rentre dans un ascenseur pour me rendre au rez-de-chaussée. Celui-ci contenait quelques agoraphobiques et un ou deux professionnels. Croyez-le ou non, quand l’ascenseur s’est mis à descendre, le pire des cauchemars des agoraphobiques est arrivé: panne de courant dans tout le bâtiment !!! Nous étions coincés en pleine obscurité. On pouvait s’attendre à avoir des attaques de panique. Mais non ! Quelques personnes ouvrirent leur sacs et en sortirent des lampes, des sacs papiers, de la nourriture, et pratiquement tout ce qui pouvait être nécessaire dans une telle situation. Nous sommes restés coincés pendant plus de 20 minutes avant que l’ascenseur ne nous ramène au rez-de-chaussée. Tout le monde rigolait et plaisantait sur le fait de savoir si cela avait été planifié ou pas. Mais il n’y eu pas d’attaques de panique. Naturellement. Tout le monde s’était entraîné à rencontrer une telle situation! C’est pourquoi je dis toujours que dans une urgence, je préfèrerais que ce soit une agoraphobie.

Sentir que vous devez être prêt et capable de répondre à n’importe quelle situation est, bien sur, un programmeParce-qu’il y a beaucoup de situations que personne ne peut résoudre, cela nous amène à :
La Dualité « Je ne peux pas… MAIS… Je dois ” (ou Comment se piéger tout seul ?)


Dernière édition par le Dim 19 Fév - 0:47, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: Chapitre 4. Que se passe t’il dans vos pensées..(Part I)   Chapitre 4. Que se passe t’il dans vos pensées..(Part I) EmptyDim 19 Fév - 0:37

Apprendre dans l’enfance que vous devez aussi être un adulte développe l’habitude de ressentir que vous devez faire quelque chose même si vous ne pouvez pas. En d’autres termes, être dans une situation de dualité « Je ne peux pas… MAIS… Je dois ” est un cercle mental qui se décrit comme suit: “ Je dois faire cela parce-que si je ne le fais pas, il y a aura de terribles conséquences. Mais je ne peux le faire car quelque chose (quoi que ce soit dans cette situation particulière) m’en empêche. « Mais je dois le faire parce que…mais je ne peux pas le faire parce que… Mais je dois le faire parce que …etc…

Voici quelques exemples:

Exemple No. 1:
Je dois faire un discours aux funérailles de ma mère car si je ne le fais pas je vais le regretter jusqu’à la fin de mes jours. Mais je ne peux pas faire un discours car dès que je vais commencer à parler d’elle, je vais commencer à pleurer et je serai incapable de parler. Je dois faire un discours aux funérailles de ma mère car si je ne le fais pas je le regretterais jusqu’à la fin de mes jours. Mais je ne peux pas faire un discours car dès que je vais commencer à parler d’elle, je vais commencer à pleurer et je serais incapable de parler.… Etc... Résultat? Attaque de panique.

Exemple No. 2:
Version de Sylvia: je dois sortir de ce mariage abusif: car personne n’a le droit d’être battu. Mais je ne peux sortir de ce mariage car je ne serai pas capable de supporter le bébé, et il serait sans père ce qui le blesserait toute sa vie, et de toute manière je ne veux pas être seule. Mais rester dans ce mariage signifie que je vais me faire battre la prochaine fois qu’il rentre saoul. Mais sortir du mariage signifie que…etc…

Autre développement commun:

L’Agoraphobie devient la partie “Je ne peux” dans cette dualité. Voilà comment ça se passe :

Exemple No. 3:
Je dois aller à la soirée de NoëI au bureau de mon mari ou sinon tout le monde pensera que notre mariage tire de l’aile ou que je les nargue. Mais je ne peux pas aller à cette soirée car je pourrais avoir une attaque de panique là bas qui l’embarrasserait autant que moi.
Mais je dois y aller parce que sinon:
- Tout le monde pensera du mal de moi
- Tout le monde pensera du mal de mon mari
- il se peut que mon mari perde son travail.
- Mon mari peut manquer une promotion et nous aurons alors des problèmes financiers à cause de moi.
- Tous les autres amènent leur conjoints à cette soirée.
Mais je ne peux y aller parce que:
- Je peux devoir partir et tous les problèmes de ne pas y aller s’aggraveront.
- Avoir une attaque de panique peut provoquer de gros problèmes pour mon mari au travail.
- Je risque de tomber dans les pommes et attirer toute l’attention sur moi.

Quand cela arrive, l’Agoraphobie se nourrit d’elle-même. Car la peur d’avoir une attaque de panique devient le “Je ne peux pas” qui s’oppose tout le long (MAIS) aux “Je dois”.

Et maintenant quoi ? Une manière très utile d’apprendre sur ces pièges de Parentification et de « Je ne peux pas…mais je dois » est de commencer un Journal et un Graphique d’Anxiété. Voilà comment :

Prenez un journal et commencez à noter vos niveaux d’anxiété. Notez votre niveau d’anxiété sur une échelle de 1 à 10. Prenez un réveil et réglez le à 4 heures d’intervalle. Notez vos niveaux d’anxiété à 8.00-12.00-16.00-20.00-0.00 (si debout…). A FAIRE TOUS LES JOURS ! Notez aussi les évènements qui déclenchés ces niveaux. C’est très important.
Pourquoi? Parce que vous vous traitez tendrement? Oui, tendrement. Parce qu’en notant quotidiennement votre anxiété, vous gardez périodiquement un œil sur vous-même en vous demandant à vous-même : « Comment je vais ? Et pourquoi ça va comme ça pour moi ? »
Ensuite, commencer un graphe d’anxiété. Ce qui veut dire mettre les données que vous avez récolté sur un support graphique ainsi vous pourrez aisément voir les hauts et les bas que vous avez traversé.
A suivre un exemple de graphe d’anxiété, et un vierge que vous pouvez utiliser à votre guise.

Jetez-y un regard et ensuite suivez l’explication sur ce qu’ils veulent dire et comment faire le vôtre.

Lorsque vous regardez ce graphe, vous constatez qu’il y a 4 lignes horizontales qui se répètent les unes sous les autres. Ces lignes représentent les heures. Elles se répètent 7 fois pour tous les jours de la semaine et vous pouvez y noter 28 jours par mois. En bas, les jours de la semaine Monday- LUNDI, Tuesday- MARDI, Wednesday- MERCREDI, Thursday JEUDI, Friday VENDREDI, Saturday SAMEDI, Sunday DIMANCHE. Au-dessus de chaque carré une case pour la date du jour.
En regardant sur la gauche du graphe les chiffres “2, 4, 6, 8 et 10” qui représentent le niveau de votre anxiété. 10 pour le pire niveau et 0 pour aucun niveau. 8 est très proche du 10, 2 est un très faible niveau d’anxiété. etc…
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MessageSujet: Re: Chapitre 4. Que se passe t’il dans vos pensées..(Part I)   Chapitre 4. Que se passe t’il dans vos pensées..(Part I) EmptyDim 19 Fév - 0:38

Maintenant regardez l’exemple fourni :
Vous commencez le lundi 2 décembre 2002 avec aucune anxiété à 8AM. Cela dure jusqu’à ce que les enfants reviennent à la maison pour le déjeuner. Ils vous rappellent que la fête de Noël à l’école (à laquelle vous avez promis d’assister) est la semaine prochaine. Cela fait monter votre niveau à 3. Lorsque vous regardez les séries et procédez aux taches ménagères le niveau redescend à 1 vers environ deux heures (qui est représenté sur le graphe entre 2 et 4PM). Dans votre journal, vous aurez marqué quelque chose comme “2/12/2002, Après-midi : rappel de la fête de Noël. »
Vous restez à 1 pendant que vos enfants et votre mari rentrent à la maison et jusque dans la soirée après que les enfants soient allés se coucher. A 10 PM, alors que vous êtes assise dans le canapé, votre mari vous faire part de son souhait d’avoir un autre enfant . Votre niveau d’anxiété monte alors jusqu’à 8, et y reste une à deux heures pendant que vous en discutez. Vous êtes angoissée par les possibles de fausses-couches parce que vous avez pratiquement 40 ans, par les longues nuits sans dormir à venir, par le fait d’avoir un budget encore plus serré avec un quatrième enfant et par toutes les attaques de panique qui pourront se produire. Vous et votre mari regardez également comme cela serait bien d’avoir finalement un garçon, pour jouer à des jeux de garçon, porter le nom de la famille. Dans votre journal vous aurez écrit alors « 10 PM, Jerry m’annonce son envie d’avoir un autre enfant. »

Aux environs de minuit, votre anxiété est seulement descendu à 6. Et vous restez à ce niveau, jusqu’à ce finalement vous tombez de sommeil vers 3 heures jusqu’à 7 heures. Le matin, vous vous réveillez avec ce même niveau. Durant la journée vous reportez sur le graphe ces niveaux d’anxiété alors que le niveau 6 se poursuit.

Néanmoins dans l’après-midi, il arrive que vous alliez consulter le net, pour voir si cette anxiété est vraiment due à vous. Vous tombez sur un de ces chapitres, et vous vous rendez compte que le fait d’avoir un enfant représente toute une série de pièges pour vous. Et vous réalisez que toute l’anxiété que vous expérimentez vous dit quelque chose- que vous ne voulez vraiment pas faire un autre enfant. Après avoir réfléchi à cela, vous décidez que vous allez devoir lever le pied et dire « non » à tout ça.
Cette décision diminue votre niveau d’anxiété à 3 vers 4.00PM, mais vous savez que cela ne va pas être facile. Ce soir (Mardi 03/12/2002) aux alentours de 8PM, vous envoyez vos filles dans leur chambre, ravalez votre salive et y allez. Cela, bien sur, fait remonter votre anxiété à 7. Vous et Jerry en débattez et finalement trouvez une fin. Même s’il est déçu, il dit qu’il peut comprendre que ce n’est pas la meilleure idée, surtout pour vous. Votre anxiété redescend à 3 et y reste jusqu’au lendemain à 6 heures. Celle-ci remonte à 4 car vous êtes inquiète que Jerry n’ait changé d’avis ou que vous vous brouilliez avec lui. Mais non, tout semble ok et il s’en va normalement au travail. Votre anxiété redescend à 1, et vous voilà à 7.00 pm, le 04/12/2002 à noter que le niveau est resté constant toute la journée et marquez dans votre journal ce qui est arrivé.
Après vous pouvez utiliser le document type fourni en annexe.

L’étincelle pour vous stimuler

Le « retour d’investissement» de ce petit effort, à tenir à jour quotidiennement votre journal et graphe d’anxiété est ENORME. J’ai trouvé que si nous voulons changer quelque chose, la première chose à faire est d’y prêter attention. Nous avons besoin d’apprendre tout ce qu’il y a à y apprendre. Le graphe d’anxiété et le journal vous permettent de voir votre niveau d’anxiété et d’expérimenter sa durée dans le temps. Vous risquez d’être surpris. Il se peut qu’il y ait beaucoup moins d’anxiété que vous pensez. Egalement, ces outils vous permettent de prendre un peu de hauteur en regardant cette anxiété à l’échelle du jour, du mois et non à l’instant précis. Cela vous permet aussi d’essayer différentes thérapies et de voir leurs effets sur votre niveau général d’anxiété. C’est vraiment encourageant de regarder 4 semaines valant les efforts et de voir qu’il y a des hauts et des bas, mais que vous allez définitivement dans la bonne direction.

C’est une bonne idée de commencer à partir de maintenant, un journal et graphe d’anxiété. S’il n’y a pas trop de variation de votre niveau d’anxiété durant la journée, vous pouvez les remplir une fois par jour. Avant d’aller vous coucher est un bon moment car cela vous permet de regarder votre journée et de prendre note de ce que vous traversez. ( Dans le futur, plus sur comment utiliser ces chapitres.)

A bientôt
Mark Eisentadt
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